Dure est la réalité, surtout quand vous ne voulez pas la voir en face mais qu’elle trouve le moyen de s’imposer à vous.
Quand j’étais encore Etudiant j’avais une amie. Ue très bonne amie. Une amie que je ne pensais jamais pouvoir oubliée et que je voulais garder près de mois toute ma vie. On avait meme la folle idee d’avoir un projet de paternite ensemble, pensant que de toute facon jamais je ne pourrea adopter. Et elle avais une amie avec qui je me suis toujours très bien entendu.
J’ai rencontre aussi un garcons, par des amis interposes. Je l’ai aimé, il m’as fait mal, il a tout gaché. Le lien que j’avais avec mon amie aussi.
Plus tard on a voulu reparer cela. Mais le temps avais passe, et nous n’avions en commun plus que nos souvenirs. Plus que cela a quoi se rattacher et qui nous unisse. Le passé.
Je m’en suis maintenant rendu compte. Quand je les ai invite toutes les deux, justes elles, a venir feter notre nouvelle vie au luxembourg. Apres que la seconde ai repondu avec beaucoup d’entousiasme et ce meme si la premiere ne pourrais venir. Apres que j’ai essaye d’avoir confirmation des deux. Apres que j’ai recu un sms m’annoncant qu’on nous preferais un enterrement de vie de jeune fille auxquelles elles ont ete grephées au dernier moment.
A ce moment la quelquechose en moi a fait mal. C’etait le fait de realiser qu’au final elles n’en avaient rien a foutre, que le temps avait passé, que le passé ne suffit pas.