Le jour, je fais le chef d’orchestre : réunions, stratégie, notifications Slack qui poppent plus vite qu’une armée de chats sur Internet. Le soir ? Je passe en mode freelance, entre sauvetages WordPress (coucou thibaultmilan.com) et bidouilles créatives du côté de LetzPrint. Les titres changent, mais mon cerveau, lui, garde toujours ouvert… mille et un onglets (et jamais les bons). Avec l’ADHD, passer d’un rôle à l’autre, c’est comme sauter d’un wagon à l’autre en pleine marche… sans mode d’emploi. Je me retrouve à “switcher” mille fois dans la même journée, et à chaque fois, c’est comme si le mental se prenait les pieds dans le tapis : tu oublies où tu en étais, tu repars à zéro, tu perds du temps — et parfois la confiance qui va avec.