news
Comme vous le savez peut être si vous suivez mon Twitter ou mon instagram mais j’organise une nouvelle édition de la soirée ::Woof, the men-only party:: à Luxembourg, ce Samedi 14 au Bar Rouge.
J’ai reçu pas mal de critiques de la part de personnes qui trouvent que ce bar ne se prête pas vraiment à ce genre de soirées. Je peux comprendre. Le bar n’est pas dans le meilleur des état et il mériterait un peu d’entretient. Mais voila, le local où on devait faire cela à la base ne sera pas ouvert dans les temps, et tout les gogos et DJs étaient déjà bookés. Impossible à déplacer (sans date précise en plus) et je ne voulais vraiment pas annuler purement et simplement l’évènement. Sinon, rien au Luxembourg pendant 6 mois de plus.
Du coup, on va retravailler l’espace:
D’ailleurs, pour respecter le côté men-only, on va avoir un videur à l’entrée qui va contrôler les allées et venues des gens qui veulent fumer.
Le seul soucis que je n’ai pas réussis à gérer c’est le vestiaire. Il n’y a matériellement pas la place dans le Bar Rouge pour en avoir, et les différents devis que j’ai demandé pour la location de système de casiers pour évènements démarre avec 1000€ de livraison, sans le coup de location des casiers 😥
C’est un mythe qui a la vie dure, mais organiser ce genre de soirée, outre le temps de fou que cela nécessite, c’est aussi un gros investissement en terme d’argent, fait juste par moi, pour que la soirée existe. Si elle se passe bien, j’arrive a rentrer dans mes frais et même avoir un peu plus pour mes « faux frais » (les trucs que je calcule pas forcément comme des frais genre essence, usure de la caisse, …)
Vous vous demandez sans doute pourquoi je fais tout cela si c’est à la limite de me couter de l’argent et que ça me bouffe autant de temps? Well … J’aime croire qu’il faut être le changement que l’on veux voir dans ce monde. Ce genre de soirée n’existait pas au Luxembourg avant moi. Je l’ai monté car cela manquait, à mon sens, ici. J’ai l’impression que certains sont d’accord avec moi puisque j’ai une certaine clientèle qui viens. Et si j’arrête, qui le fera?